Cavale ça veut dire s’échapper, Cali. Publié aux éditions Cherche-midi, le 14 mars 2019.

Cali nous raconte son enfance, acte deux ! J’avais adoré le premier roman de Cali, Seuls les enfants savent aimer, donc lorsque Benoît des éditions du Cherche-Midi m’a proposé de découvrir le dernier roman de l’artiste en avant-première, j’ai foncé!

Cavale ça veut dire s'échapper

Crédit photo: @Mooncatcher

Dans ce deuxième volet de son enfance, Bruno a 15 ans, la vie devant lui et une folle envie de découvrir les filles de son âge. Il est amoureux d’ailleurs, mais il n’ose pas lui dire. Premiers émois, premières déceptions. Qui n’a pas vécu ça?

Quand Cali raconte son enfance, ça a le doux goût de la poésie et de l’enfance, mais également l’amertume de l’absence d’une mère, partie trop tôt. C’est sans fard et sans prétention que Cali nous raconte ces années de lycée, ses frasques, ses accomplissements, mais aussi ses échecs et ses peines. C’est la vie d’un jeune homme sommes toutes banale, mais conté de façon poétique et onirique. Parce que la plume de Cali est à l’image des textes de ses chansons: poétique et amoureuse.

Mis à part les filles, il y a aussi Alec, le meilleur pote de Bruno. Ensemble, ils font tout, ils se racontent tout. C’est à la vie à la mort. Comme le sont les amitiés à cet âge-là. Alec, tantôt l’ami fidèle, tantôt le voleur de petite-amie; mais toujours présent pour Bruno. Et puis cette phrase, prononcée par Alec : Mon Bruno, tu as peur? J’espère que tu as peur, ça sert à rien la vie si on a pas peur.

Le dernier roman de Cali, c’est un condensé d’adolescence: celle furieuse, émotive au plus haut point et rêveuse à souhait! Et il sort aujourd’hui (14 mars) en librairie!

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